Vous êtes souvent à l’affût du mot juste ?
Vous êtes parfois en panne d’idée ?
Vous pensez ne pas avoir le temps ?
Je serai ravi d’être votre HOMME DE PLUME !
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Vous êtes souvent à l’affût du mot juste ?
Vous êtes parfois en panne d’idée ?
Vous pensez ne pas avoir le temps ?
Je serai ravi d’être votre HOMME DE PLUME !
Il est des chansons de saison qu’aucune autre ne peut remplacer. « La Rouille » de notre ami Maxime est de celles-là. Cette mélodie habille l’automne bien plus que l’automne ne la recouvre.
C’est vrai que la rouille « teinte bien les feuilles d’automne ». C’est vrai qu’elle aurait « un charme fou si elle ne s’attaquait qu’aux grilles.» C’est vrai qu’elle ronge plus l’humeur que le tempérament.
Elle nous met en garde contre « l’habitude qui nous joue des tours ». Elle laisse en nous « une blessure qui ne guérira pas. » Elle nous protège et nous rassure aussi, parce qu’« avec le temps, tout se dénoue... »
« Contre la rouille, il n’y a rien à faire » ? Nulle angoisse, nulle inquiétude, nul remords. Aucune raison de nous en faire. Puisque vous et moi nous ne sommes pas de fer.
À votre guise
Avec l’automne, la lumière devient plus fade, le ciel plus capricieux, l’air plus frais. En premier, les arbres annoncent la couleur. Et notre humeur s’en ressent, moins enjouée peut-être, plus portée aux états d’âme. Avec fougue et lyrisme, l’école romantique du XIXe siècle excellait à célébrer cette étrange communion entre l’homme et la nature. Bien plus que le rythme des saisons, c’est « l’horrible fardeau du Temps » qui vient nourrir son inspiration crépusculaire. Maître incontesté du genre, Charles Baudelaire.