Pourquoi, dans l’univers hermétique du jeu d’échecs, la femme peine-t-elle tant à trouver sa place ?
Dans les tournois individuels, la représentativité du sexe féminin excède rarement les 10%. Pire encore dans les tournois par équipe, où un quota de femmes — fort symbolique — est exigé pour sauver les apparences. Une femme est présente parce que le règlement l’exige ! Faut-il s’en désoler ou s’y complaire ? Elle existe encore cette race de pousseurs de bois, — dont certains responsables de club —, qui ne se pose même pas la question.