Comme la nostalgie s’échine à extraire le meilleur du passé, osons défendre publiquement l’enseignement du latin et du grec, aujourd’hui mis à mal par le culte fantasmagorique que notre ministre de l’Éducation nationale voue au « cosmopolitisme multiculturel »…
Parce qu'il faut sauver le peu qu'il reste de « nos humanités », — celles qui ont si longtemps œuvré au rayonnement de la France —, parce que le latin et le grec initient aux richesses de notre patrimoine littéraire et aux subtilités de notre vocabulaire, parce que les langues antiques sont les racines de notre fonds commun culturel, sauvons le legs des générations précédentes et rappelons notre attache aux « belles lettres » face à la déferlante d’acculturation qui ronge un peu plus le socle de notre école républicaine.
Signez vite la pétition nationale via ce lien —
Commentaires
Même si, à 11-12 ans, je n'en comprenais pas l'intérêt, je ne regrette pas d'avoir fait un peu de Latin. Tout d'abord pour comprendre comment se sont construits nombre de nos mots. Ensuite pour mesurer combien les "grands" du monde romain et gallo-romain sont un des piliers de notre civilisation!